Féoval - Échoppe Médiévale | Pendentifs médiévaux homme
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Pendentifs médiévaux homme

L

"orfèvrerie selon Leduc

Avant la conquête romaine, les Gaulois travaillaient les métaux, fer, or, argent et cuivre, avec assez d'adresse;
leur procédé consistait à couler des lingots dans des moules de terre cuite et à les battre de manière à leur donner la forme convenable.
On a trouvé, dans les fouilles récentes, un grand nombre de bijoux de fabrication gauloise, tels que colliers, anneaux, plaques, bagues, ceintures, bracelets, agrafes, dont quelques-uns attestent déjà un certain goût.

La domination romaine ne fit que développer cette industrie essentiellement nationale; car même les bijoux dits mérovingiens n'ont aucun rapport, suivant Violîet-Leduc, avec les bijoux romains ou gallo-romains de la fin de l'empire.

On sait qu'aux temps antiques les plus reculés, l'orfèvrerie était florissante, il n'est guère de récit ancien qui ne mentionne les bijoux, et chaque jour encore la découverte d'objets précieux, dans les ruines ou les tombeaux, vient attester à quel haut degré de perfection le travail de l'or et de l'argent était porté chez des peuples depuis longtemps éteintes.

Sous l'empereur Constantin, le triomphe de la religion chrétienne, en favorisant la décoration intérieure des édifices consacrés au culte, imprima un nouvel essor au développement de ce bel art.

Les papes successeurs de saint Sylvestre (lequel avait provoqué les libéralités de Constantin) continuèrent à entasser dans les églises de Rome les plus somptueuses pièces d'orfèvrerie et les plus massives.

Symmaque (498 à 514), à lui seul, selon un calcul de Seroux d'Agincourt, aurait enrichi le trésor des basiliques de 130 livres d'or et de 1,700 livres d'argent, formant la matière des objets le plus délicatement travaillés.
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